Nous sommes venus assister, mon
colistier et moi-même, à la réunion publique de la liste « Vivre
ensemble à Servoz ». Nous nous sommes promis de ne pas
prendre parole afin de respecter l'expression de l'autre l'équipe.
Engagement tenu, malgré de très lourdes insinuations : dès
les premiers mots, un ton agressif, pour ne pas dire haineux,
transparaissait dans la parole du tête de liste.
Je ne reviendrai pas sur les
accusations infondées concernant notre communication. Vouloir de la
transparence, est-ce un « coup bas » ? Utiliser
internet en 2014, serait-ce quelque chose de « malsain » ?
Heureusement que nous avons ce moyen de communication libre, lorsque
l'on voit que le quotidien local a manifestement un parti pris. La
demi page de promotion de la maison du Lieutenant dans l'édition du
dimanche 16/03 du DL, c'est à dire à une semaine des élections,
n'était-elle pas une opération de communication politique ?
Pourquoi avoir omis de dire dans cet article que beaucoup de gens
s'interrogent sur ce projet ?
Évidemment, lors de sa présentation
personnelle, la tête de liste a oublié de parler de son passé de leader national de l'extrême droite étudiante. (Voir l'article : Des habitants de Servoz veulent savoir !) Rien ne montre qu'il
assume son passé, ni qu'il s'excuse auprès des Servoziens pour les
mensonges qu'il a tenu depuis plusieurs années.
Pour la suite de la soirée, on peut
dire en revanche que les présentations sympathiques des autres
candidats ont contrasté positivement avec la lourdeur de
l'introduction.
LB
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